La dérisoire effervescence des comprimés

En l’occurrence, l’effervescence vient du très dispensable Jean-Marc Morandini. Le con primé en question n’aime pas qu’on critique son travail. Lui, il a le droit, mais pas un misérable blogueur même pas journaliste.

Journaliste ? N’est-ce pas une insulte, plutôt ? La profession devrait faire honte ; on ne devrait la révéler que le rouge au front et l’œil baissé. Orthographe approximative, syntaxe bancale, énoncé des faits lacunaire, raisonnement à l’emporte-pièce : ils sont nombreux, les errements de cette profession. Ceux qui veulent vraiment parler moche et penser mal peuvent continuer à lire la presse et regarder la télévision. Moi, j’essaye d’arrêter.

Le titre vient d’un excellent album de Boucq.

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