Le phénomène Mickael Vendetta analysé avec brio par Éric Loret. Seul hic, l’auteur se demande si cette critique réflexive de la marchandisation est de droite ou de gauche. Voilà bien une question qui n’intéresse plus que Libé… L’auteur cite Rancière qui croit déceler une « nouvelle fureur de droite qui reformule la dénonciation du marché, des médias et du spectacle comme dénonciation des ravages de l’individu démocratique ». C’est l’individu jouisseur, égoïste et puéril, que M.V. caricature. Doté d’un fascination morbide pour le pouvoir et le bling, que par ailleurs il exècre. Le parfait lecteur de Libé en fait… Oui je sais, la poutre dans l’œil, ça pique un peu.